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Publié le 21 juillet 2020 par lunette-soleil Publié dans accesoires

Théorie et réalité contre mythes et préjugés insoutenables

Comme le montrent les explications ci-dessus, une plaque à orifices “parfaitement” fonctionnelle doit répondre à un certain nombre de critères. L’interaction entre une mécanique sophistiquée, un traitement intelligent des signaux, un contraste et une luminosité natifs doit être équilibrée et cohérente. C’est une tâche difficile, mais sa solution n’est pas impossible.

De nombreux systèmes efficaces ont prouvé ces derniers mois que l’iris adaptatif peut augmenter considérablement le potentiel de contraste. Malheureusement, il y a eu et il y a encore de nombreuses solutions inadéquates qui ont suscité beaucoup de méfiance et même des préjugés, des rumeurs et des mythes sur le système d’iris adaptatif. Un aperçu des “antithèses” les plus courantes avec un commentaire techniquement factuel :

 

Idée fausse n°1 :

“Les volets adaptatifs créent essentiellement des pompes de luminosité”

Cette thèse a été déclenchée par des mécanismes d’ouverture mal mis en œuvre. Les systèmes d’ouverture non entièrement développés provoquent en effet un pompage d’image gênant : ils se ferment trop lentement et fournissent ainsi un assombrissement ou un éclaircissement visible et retardé. Ce n’est pas ce que l’inventeur avait prévu et ne fait que perturber l’image plus que la gagner.

Il n’est pas vrai, cependant, que les ouvertures adaptatives produisent toujours des pompes à images. Si la mécanique est rapide, le réglage gamma adaptatif est intelligent et le contraste natif du vidéoprojecteur est suffisamment élevé pour offrir des réserves de compensation pour le blanc, une ouverture peut fonctionner de manière invisible pour l’œil. De plus en plus d’exemples le prouvent, nous y reviendrons dans le prochain chapitre.

 

Idée fausse n°2 :

“Les ouvertures adaptatives ne font qu’augmenter la valeur commerciale, dans la pratique elles n’ont aucun effet”

C’est aussi une thèse qui a été alimentée par le zèle marketing exagéré de divers fabricants. En fait, certains fabricants ont abusé de la technologie de l’ouverture pour publier des valeurs fantaisistes non pratiques concernant le contraste dans les données techniques (jusqu’à 50 000:1). C’était et c’est toujours une astuce populaire pour cacher les déficits de contraste natif, en particulier dans le secteur des LCD, longtemps considéré comme faible par rapport à la concurrence.

Cependant, il est à nouveau erroné de conclure du zèle marketing exagéré de certains fabricants que les ouvertures adaptatives servent exclusivement à des fins de marketing et sont inefficaces dans la pratique. Au moins dans les systèmes bien conçus, un iris adaptatif est capable d’augmenter la plage de contraste d’un projecteur d’un facteur de trois à quatre. Selon la technologie utilisée, des valeurs de contraste “réalistes” de 20 000:1 sont possibles, avec les bonnes couleurs et sans exagération.

 

 

Idée fausse n°3 :

“Augmenter le contraste au moyen d’ouvertures est une fraude, car cela ne fonctionne que de manière séquentielle”

C’est logique : la correction de la lumière par des volets adaptatifs est fonction de la scène et donc du temps. Un iris adaptatif ne peut pas être ouvert et fermé en même temps. Il fonctionne donc de manière séquentielle, c’est-à-dire l’un après l’autre dans le temps.

De ce fait, un iris adaptatif n’augmente généralement que le contraste On/Off, mais pas le contraste maximum natif, qui est limité par la technologie de la puce d’image. Le contraste On / Off est déterminé par une séquence d’images dans laquelle on mesure d’abord la valeur du noir avec une image entièrement noire, puis la luminosité maximale avec une image entièrement blanche. Cela permet de s’adapter à l’ouverture adaptative et donc d’augmenter le contraste.

 

Conclusion du contraste

La conclusion selon laquelle une augmentation séquentielle du contraste marche/arrêt n’est pas très utile dans la pratique est une erreur qui découle de l’ignorance technique. Quiconque défend une telle thèse remet donc en question tout le principe du contraste on / off et, en fin de compte, sa propre compétence. Bien sûr, la mesure du contraste marche/arrêt est logique, même en utilisant une ouverture adaptative.

Le contraste On / Off décrit la luminosité du blanc maximum par rapport au noir. Ainsi, un contraste On / Off de 4000:1 indique que le blanc est 4000 fois plus lumineux que le noir. Les critiques affirment que le contraste produit par les ouvertures adaptatives ne peut pas être obtenu dans une image, mais seulement dans le temps. Cette approche est superficielle et ignore certaines choses :

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